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Journal d'une Passion
24 septembre 2010

XXVIII- Paris - Notre 1ère fois

Nous étions dimanche, j’étais au lit et lui près de moi. Je dormais encore quand j’ai senti une douce caresse descendre le long de mon visage. J’ai ouvert les yeux et j’ai croisé les siens. Ses yeux étaient fixés sur moi, il m’a souri et il a dit :

-          Désolé, je ne voulais pas te réveiller.

-          Bonjour toi ! Ça fait longtemps que tu me regardes dormir ?

-          J’en sais rien...  Tu es si jolie dans cette nuisette...

Pendant qu’il me faisait ce compliment, son regard glissa le long de mon corps scrutant les formes que laissait dévoiler ma nuisette. Il poursuivit en me caressant le bras tendrement :

-          Ta peau est douce.

J’ai souri et je lui ai répondu :

-          J’espère bien qu’elle est douce car j’ai pris tellement de temps hier à m’enduire de crème que tu t’es endormi en m’attendant.

-          Quel con !

-          Tu n’étais pas con mais juste très fatigué.

Il se serra tout contre moi avec un sourire malicieux (ou vicieux) et dit :

-          Mais rien ne nous empêche de rattraper le temps perdu.

Il était collé à moi, j’ai senti son sexe se durcir contre moi. Il avait envie de moi. Son désir arrivait jusqu’à moi et me pénétrer. On se regarda dans les yeux et il me dit :

-          J’aurai préféré avoir une autre tête…

-          Non, tu es très bien, tu es parfait comme ça.

Je n’ai pas dit cela pour le rassurer mais parce que j’avais l’impression de le voir vraiment, tel qu’il était. Je ne suis demandé plusieurs fois si j’étais attirée par lui à cause de son visage d’ange et bien là, j’avais ma réponse. Ce jour, j’avais envie de lui plus que jamais. Je me suis lancée sur sa bouche et je l’ai embrassé fougueusement. Je l’ai embrassé avec envie, on se dévorait la bouche furieusement, nos langues s’entremêlaient avec passion. Je me frottais à lui, je lui donnais tout.

Il glissa ses mains sous ma nuisette et atteignit mes fesses. Ses caresses étaient très douces et excitantes. Puis, il les posa sur mes seins. Quand j’ai senti ses doigts, c’était comme si j’avais attendu ce moment depuis des siècles, j’ai soupiré de bonheur. Il prit mes seins en main, les caressant, les pétrissant. C’était bon, mes tétons pointaient sous ses doigts. Je mouillais, j’étais prête à le recevoir : j’ai murmuré à son oreille : « J’ai envie de toi ! ». Il me répondit avec empressement : « Oh moi aussi, tu ne sais pas à quel point ! »

Il ôta ma nuisette au même moment. J’étais presque nue, il ne restait que mon string à enlever. Il regarda mon corps et me dit avec rage passionnelle : « Dieu, que tu es belle ! ».  Il déposa sa bouche sur mon sein et suça mon mamelon, c’était délicieux, en même temps, il fit descendre mon string. Une fois nue, il enleva son tee-shirt et baissa son boxer. J’admirais à mon tour son corps nu d’apollon qui allait assouvir mes plus profonds désirs. Son sexe était long et bien tendu. Il me regarda pour me demander mon autorisation, mon sourire fut la réponse qu’il attendait, il écarta mes jambes. Mon sexe était ouvert et n’attendait que lui.

Il est entré en un coup de rein. Il me pénétra en douceur et lentement. Le moment était unique et intense. Je le sentais, il était en moi, il était à moi.

Il allait et venait en moi. Il semblait apprécier chaque seconde, chacun de mes soupirs, de mes gémissements. Puis, il me retourna, il m’a prise par derrière. J’étais si mouillée qu’il a glissé rapidement dans mes profondeurs. La sensation était incroyable. Je sentais ses mains sur mes hanches, il me tenait fort. Il me disait qu’il me sentait bien, il y allait plus vite, son sexe semblait encore plus dur, plus audacieux. J’ai ouvert un peu plus mes jambes et je lui ai crié : « Vas-y plus fort ! ». Il se pencha et posa ses mains sur mes seins. C’était si bon, il y allait encore plus fort, plus loin. Le va-et-vient était plus  rapide,  je le sentais gonflé en moi, il gémissait fort. « Ah que c’est bon, c’est bon ! » me dit-il d’une voix presque tremblante. Il allait jouir, je le sentais venir. Il soupira un grand coup et s’enfonça profondément en moi. Il se déversa en moi. Il avait joui et je vibrais sous les secousses de son corps.

Il resta un moment au fond de moi comme s’il ne voulait plus en sortir. Il souriait, ses yeux brillaient comme jamais, il semblait être ailleurs, il était high.

Il sortit de moi et m’embrassa tendrement. Il posa sa main sur mon sexe et il commença à le caresser, il frotta mon clitoris. Ses caresses étaient bonnes, j’ai écarté les cuisses sous l’excitation, il put  y faire pénétrer un doigt. Il continua à me caresser le clito tout en faisant aller et venir son doigt dans mon intimité. C’était terriblement bon, j’étais déjà très mouillée, il ne m’en fallait pas beaucoup. Quand il posa sa bouche sur mon téton, je n’en pouvais plus, j’ai joui. C’était électrique, comme si j’avais reçu une décharge de 100 000 volts, les spasmes ont soulevé mon corps, j’ai crié sous les coups du plaisir. Puis, j’ai fermé les yeux et j’ai laissé mon corps retomber sur le lit. Il retira son doigt de vagin et sa bouche de son sein, et s’allongea à mes côtés.

J’ai pris une grande inspiration et je me suis glissée dans ses bras et nous n’avons plus dit un mot. Nous étions en paix avec nous même, avec notre corps et nos envies. On a fermé les yeux et on s’est rendormis. Quand on s’est réveillé, on s’est regardé en souriant. Nous n’avions envie de rien faire. Je l’ai regardé son visage était toujours gonflé et couvert de bleus mais je le trouvais beau. Ce que je ressentais était incroyable. Faire l’amour avec lui me rendait heureuse, c’était comme un rêve s’est réalisé, comme s’il était à moi maintenant, rien qu’à moi. Il ne disait toujours rien, au début je me disais que ce silence était dû à l’émotion, mais il commençait à m’inquiéter.

-          Ça va ? ai-je demandé

-          Oui, ça va très bien, même trop bien.

-          Pourquoi tu dis ça sur ce ton alors?

-          J’ai pas envie que ça s’arrête.

-          Ne t’inquiète pas, on fait une pause et on recommence. ai-je dit en souriant

Je faisais semblant de ne pas comprendre mais j’avais parfaitement compris ses craintes mais je n’étais pas prête à les affronter. On s’est fait livrer des plats et après avoir déjeuné, nous sommes remontés au lit pour la sieste. Nous avons refait l’amour plusieurs fois. C’était merveilleux. Nous avons passé la quasi-totalité de notre dimanche au lit. C’était l’un des plus beaux dimanches de ma vie.

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Commentaires
L
Il y a parfois comme ça des dimanches merveilleux, parfumés, et tant mieux...<br /> cet instant est très bien narré, et agréable à lire, oui...bon après midi...
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